Suivez La Ligne Verte : Le Voyage à Nantes

L'exposition Les messages de l'art, une étape du parcours en centre-ville de l'édition 2013 du Voyage à Nantes. On voit notamment ici des installations de Maurizio Cattelan et Christian Boltanski. (Photo : Jean-Pierre Dalbéra, CC BY 2.0 via Wikimedia Commons)

L'installation Le naufrage de Neptune par Ugo Schiavi sur la place Royale fait partie des nouveautés de l'édition 2021. “S'inspirant du récit archéologique d'anticipation Sécheresse (1964) de l'écrivain J. G. Ballard, Ugo Schiavi crée sur la place Royale un fragment de monde, à la lisière des temps passé, présent et futur.” (Photo : Koreller, CC BY-SA 4.0 via Wikimedia Commons)

Chaque année dans le cadre du parcours permanent, l'artiste Claude Ponti imagine des installations paysagères pour le jardin des plantes de Nantes (Photo : Jean-Pierre Dalbéra, CC BY 2.0 via Wikimedia Commons)

L'Absence, une installation permanente réalisée par l'Atelier Van Lieshout en 2009, se trouve en face de l'école d'architecture et abrite un bar. “L’Absence est une sculpture qui répond à son environnement architectural. Elle offre l’apparence d’une masse mouvante et vivante aux multiples protubérances, comme l’incarnation d’un geste dénué de limites de formes ou de fonctions.” (Photo : Dalbera, CC BY 2.0 via Wikimedia Commons)

le Mètre à Ruban de Lilian Bourgeat, qui s’attache à surdimensionner des objets de notre quotidien tout en conservant leur exact aspect d’origine. “Outil indispensable à l’architecte, l’urbaniste, l’ouvrier et bien d’autres corps de métier, le mètre à ruban l’est aussi pour Lilian Bourgeat qui le transporte partout avec lui. Copie exacte mais gigantesque du sien propre, celui-ci est déployé dans la cour du siège d’Aethica dont le métier est justement de construire des projets immobiliers. L’œuvre apparaît comme un monument dédié à la simplicité d’un outil, banal s’il en est, mais qui rend concrètes les constructions issues de notre imagination.” (Photo : Bari Élisabeth, CC BY-SA 4.0 via Wikimedia Commons)

“Monte-meubles, l'ultime déménagement”, installation temporaire de Leandro Erlich pour l'édition 2012. “Défiant les lois de la gravité, Monte-meubles, l’ultime déménagement présente une portion de façade suspendue à 10 mètres dans les airs. Elle fait face aux autres façades de la place et en reprend le vocabulaire architectural. Mais par quel prodige tient-elle ? Quel incident a pu faire fuir les habitants lors du déménagement ? Quel phénomène aurait stoppé la démolition de cet immeuble ?” (Photo : Dalbera, CC BY 2.0 via Wikimedia Commons)